Les propriétés anticancéreux du thé vert n’ont pas été vérifié sur l’être humain. Par ailleurs, un régime à base de forte dose de thé vert nocif une part les flavonoïdes qui contient l’absorption du fer alimentaire et expose donc à des carences. D’autres part. On a vérifié qu’un extrait, il est toxique pour le foie, La bombe atomique ne doit rien à Einstein, mais plutôt à Szilard un juif hongrois exilé aux États-Unis, depuis 1933 qui a repéré l’expérience de Hahn et strassman a deviné que le troisième rite, je pourrais concevoir le projet d’une arma Tomic et prévenu les autorisées Américains entre parenthèses en demandant l’aide de Einstein, en tout cas sa signature. De plus pour qu’on se voit la première bombe, un, il fallait un cyclotron dispositif qui a pu aussi été conçu par Szilard En 1994, près d’un demi-siècle après l’incident de Rosewell, une enquête révéla l’origine de Matsuko ; il s’agissait d’équipement du projet militaire américain ultra Secret Mogul, destiné à surveiller la haute atmosphère pour capter des échos d’un essai nucléaire, soviétique, imminent : les trains de ballons avaient été lancé de là-bas, l alamogordo. Le 4 juin 1947, 10 jours avant que Brazel trouve les débits d’un ballon, l’un de ses trains échapper au contrôle et l’on n’en avait retrouvé la trace jusqu’à près de 25 km de leur principal. Point De chute. En 1995 conscient que le silence officiel sur cette affaire d’Alamo gordo nuisait à la crédibilité du gouvernement. Américains, le président Bill Clinton, ordonna de déclassifier tous les documents qui s’est rapportés. Et l’on a appris que certains de ces ballons tiraient dans des coques en forme de soucoupe enflée tout un équipement de capteurs acoustique de radar et autres appareils. C’était l’explication des neuf 10 aperçu par le pilote Kenneth Arnold. Leur mouvement oscillant dans les couches de la haute atmosphère pouvait, en effet, être perçu comme des ricochets. En 2012, une équipe de psycho pharmacologie de l’Imperial College de Londres, dirigé par David Notte procède à une expérimentation en double aveugle sur trois volontaires. Une injection contenant soit de la psylocibine soit un placebo leur fuit. Et elle démontre qu’en fait l’activité du cerveau était réduit de 20 %, et que plus elle était réduite, plus le sujet ressentait les effets décrit depuis plus d’un demi siècle par les premiers consommateurs de substance psychédélique. Aucune augmentation d’activité n’était relevée dans aucune zone du cerveau, plus grave : le contact entre le préfrontal et les régions, corticale à l’arrière du cerveau était désorganisé, d’où les sensations chaotique de perdre du sens du temps et de l’espace chez les drogués. https://www.sciencedaily.com/releases/2012/01/120123152043.htm